Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 4 ans
Digression sur un écrit de William Smith
" Les femmes du roi couchent rarement plus de 3 fois avec leur souverain, après quoi tout commerce avec les hommes leur est défendu fort sévèrement. On leur donne le goût du plaisir, on éveille leur passion et au moment qu'elle agit le plus, on leur en défend la jouissance sous peine de mort.... Cependant les femmes de l'Oba (souverain du Bénin qui peut avoir plusieurs centaines à millier d'épouses) ne manquent pas une occasion de satisfaire leur passion. Elles se mettent à une vingtaine ensemble et saisissent un jeune homme à leur gré qu'elles tiennent enfermé avec elles pendant quelque temps ; elles le renvoient ensuite et lui font promettre de revenir en un temps donné ; mais le jeune homme a grand soin de manquer à sa parole, car il serait certain de tomber dans un esclavage perpétuel s'il s'avisait d'y retourner " Nouveau voyage en Guinée - William Smith - 1751
Dans les années 1700, le Bénin est sans doute le plus prestigieux des anciens royaumes noirs entre la Volta et le Niger. Les béni ont été un peuple non seulement de guerriers s a n g u i n a i r e s et redoutables mais de grands artistes et des commerçants avisés qui entretenaient des relations avec d'autres états de la région. A la fin du XV ème siècle une ambassade du Bénin s'était même rendue en grande pompe à Lisbonne....
Iweba, jeune guerrier au service de l'oba était particulièrement attaché à la garde du palais, véritable ville qui regroupait tous les services royaux .Le sieur de la Croix en 1670 décrit le palais royal comme un assemblage de bâtiments qui occupe autant d'espace que la ville de Grenoble fermé de murailles, cité de 3 à 4 lieues de circuit, éloigné de toutes habitations.
Jouissant d'un statut particulier Iweba avait été recruté pour sa robustesse exceptionnelle. De grande taille, il surpassait par sa beauté et son allure les autres gardes du palais. En passant devant une des portes du harem, celle-ci s'ouvrit brusquement laissant s'échapper une dizaine de jeunes épouses de l'Oba qui se mirent à courir et à l'encercler..
Comprenant le guet-apens il bouscula une des épouses, et réussit à se dégager. Alors surgit par une porte latérale une autre volée de jeunes épouses qui lui barra le chemin, menée par la jeune Iyobé. Iweba fit volte face et courbant le torse, tête en avant tel un bélier, renversa une de ses adversaires, mais il fut aussitôt saisi aux chevilles par deux grandes et belles femmes qui le plaquèrent au sol. Aussitôt ce fut la curée et une multitudes de mains le réduirent à l'impuissance.
Lui le preux guerrier qui avait combattu et tué maints éléphants se trouvait maintenu à terre, croulant sous cet engeance féminine qu'il avait l'habitude de dominer. Aussitôt, il fût entravé par des cordages confectionnés à base de lianes, soulevé de terre et transporté tel un trophée vers la porte interdite ou nul homme, sauf l'Oba, ne devait pénétrer sous peine de mort cruelle.
Pourquoi était-il passé devant le harem, alors qu'habituellement il prenait bien garde de ne jamais s'approcher de cette partie interdite du palais. Le portail venait de se refermer sur cette grande cour qu'aucun homme n'était sensé franchir. Des bruits avaient couru sur la disparition d'autres gardes qu'on disait prisonnier du palais et qui aurait pu servir de jouets sexuels aux épouses du souverain, ou aux princesses dont les mœurs étaient libres...et qui contrairement aux épouses jouissent d'une totale liberté sexuelle. Maints phantasmes courraient sur les mœurs du harem...
La procession longea une vaste galerie soutenue par une cinquantaine de planches en guise de pilier, passa sous un porche, traversa une autre cour avant d'être introduit dans une grande vaste pièce et déposé sans ménagement sur une litière attenant à une poutre centrale de soutènement. Autour, des chaises, des peaux de léopard à terre sur une sorte de parquet formaient le seul mobilier.
Le toit en branches de palmier procurait une certaine fraîcheur à cette habitation dont chaque coin est embelli d'une petite tour en pyramide, sur laquelle est perché un oiseau de cuivre étendant les ailes. Une longue corde tressée fût enroulée et attachée au pilier central puis noué aux liens qui entravaient les poignées. Et les filles étaient là, une vingtaine à le détailler pendant qu'il cherchait à rompre ou desserrer les nœuds; mais les garces s'avaient s'y prendre et il ne réussit qu'à entailler sa peau.
Des rires fusèrent à ses déhanchements et contorsions à se libérer. L'une d'elle posa son pied sur son torse pour bien montre sa domination, puis étirant ses orteils, descendit lentement le long de la cotonnade légère sans manche et qui le couvrait jusqu'aux haut cuisses puis remontait jusqu'à la ceinture, où elle était enroulée, maintenant ainsi ses attributs en formant une sorte de caleçon. Lentement les orteils s'insinuèrent entre les plis recouvrant la chose, malaxèrent par des pressions légères l'entrecuisse en recroquevillant ses doigts de pieds, ce qui eut pour effet de rendre visible un renflement du tissu.
Les rires, les petits cris redoublèrent et le caquetage de ses lubriques femelles redoublèrent. Iweba pour se soustraire à cette pression pédestre, dans de vains efforts, en s'appuyant sur ses talons essaya de déplacer ses fesses mais le pied malicieux suivait le mouvement de ses hanches et revenait inexorablement sur l'endroit sensible.. ; et sous son linge, il sentait lentement son sexe se tendre, lui procurant une onde involontaire de plaisir ...
Iyobe (la trente cinquième épouse) qui avait été l'instigatrice de ce rapt claqua des mains et toutes les courtisanes disparurent laissant Iweba avec une trique d'enfer...
Bientôt la nuit africaine tomba brutalement .Il était entravé à cette colonne depuis plus de deux heures, quand une esclave entra munie de lampes à huile et de brûle-parfums qu'elle disposa et accrocha aux quatre coins de la pièce. S'éclipsant, Iweba resta de nouveau seul sur sa couche en se demandant quel sort lui serait réservé. Depuis longtemps il aurait du quitter son service et retrouver son épouse que l'Oba lui avait choisi lors d'une cérémonie où il avait été intronisé garde du Palais...
Quand furtivement, la porte laissa passer Iyobé accompagnée d'une forte femme vêtue d'un pagne et portant un double collier. Cette énorme matrone à la corpulence impressionnante et aux bras comme des battoirs tenait dans ses mains une grande chaîne munie à chaque extrémité d'anneaux. En effet, les portugais avaient établi des comptoirs le long de la côte et dès le XV ème siècle, sous couvert de commerce, avaient commencé la traite des indigènes et propagèrent l'usage des chaînes et des fers jusqu'à la cour de l'Oba.
Aussitôt un anneau fut fixé à une cheville d'Iweba et malgré ses supplications fut ajusté à grands coups de maillet. Seul la dextérité de la matrone et la pose d'un tissu de protection autour de la cheville lui avait permis de ne pas trop souffrir lors de cette opération. L'autre extrémité de la chaîne fut fixée de la même manière à un anneau solidement arrimé entre deux lattes de plancher presque invisible sous la couche. Alors seulement on détacha le prisonnier. Une autre esclave lui apporta un bol de mil et du poisson séché ; puis on lui servit un grand pot plein d'eau fraîche auquel il trouva un goût bizarre. Son repas terminé les esclaves lui retirèrent son vêtement et il subit l'humiliation de se retrouver nu. On le lava dans un baquet d'eau où on le frotta énergiquement. Enfin on lui tendit un linge de toile fine dans lequel il s'enroula sans lui rendre son habit. ...
De nouveau seul, on lui avait laissé la bassine pour ses commodités, il commença à s'assoupir quand la porte fut furtivement ouverte. Une, puis deux, trois . enfin un essaim de femmes prirent place dans la pièce, souriantes, chuchotantes se poussant pour mieux examiner le captif. D'un bond, il se releva, se drapant dans son linge.
Doucement, l'une d'elle agrippa le drap dont il s'était couvert et tira découvrant son buste musclé. Iweba d'un geste pudique tenta de contrer la manœuvre en remontant la pièce de tissu mais une licencieuse jeune fille s'empara de son extrémité qui traînait à terre et d'un geste vif rejeta celui-ci par-dessus sa tête, découvrant par la même ses attributs. Une autre se jeta à son cou et déséquilibré, aveuglé par le linge, il se laissa choir sur sa couche. Aussitôt quelqu'un s'accroupit sur son visage tout en écrasant ses bras. Enfin il sentit une main ferme lui saisir ses organes et le branler. Une formidable érection s'empara alors de son bas ventre, et en moins de rien, sa verge gonflée de s a n g fût sur le point d'exploser. La tête lui tournait légèrement. Il se sentait transporté dans un univers d'érotisme qu'il ne contrôlait plus. Il pensa alors que l'eau contenait un breuvage en se remémorant alors les récits de sorciers qui étaient capables de donner de la vigueur à un mourant pour qu'il puisse partir dans la félicité...
Immobilisé par une multitude de mains, caressé de partout, il sentit qu'on enfonçait sa pine dans un con profond et étroit qui vibrait au doux mouvement de va et vient qu'imprimait sa visiteuse.. La tête toujours emprisonnée par le linge, il percevait au niveau de sa bouche, de son nez un effluve féminin puissant. Et maintenant elle frottait sa doudoune, cuisses écartées contre son visage.
Quelqu'un lui massait le haut des jambes...Et lui le puissant guerrier se trouvait impuissant face à ses femelles en rut, obligé de subir l'humiliation d'être pris comme un vulgaire étalon que l'on mène à engrosser une truie....Il sentait monter sa sève quand sa partenaire lui pinça la base de la verge pour reprendre de plus belle une chevauchée infernale. En sueur, une fois, deux fois, trois fois il inonda le ventre de celle qui le possédait. Haletant, réduit à l'impuissance par une dizaine de femelles, il subissait les assauts d'une furie qui le laissa pantelant et vidé.
Quand elle se retira, son sexe fût aussitôt sucé par une bouche avide qui explora la moindre partie de sa verge. Il sentit une langue laper son gland avec application. Pendant qu'une main pétrissait en remontant sa hampe pour en extraire la moindre goutte... Puis, un autre vagin vient remplacer le précédant.
Quelqu'un au dessus de sa tête avait changé de position et se frottait avec application contre son visage. Des cuisses puissantes enserrèrent sa tête en maltraitant ses oreilles dans un mouvement lascif. Le linge qui lui masquait le visage était humecté tant par sa salive que par des produits vaginaux ...et l'autre fille toujours sur son bassin qui se mouvait lui retirait des râles. Son mouvement mécanique et puissant avait emballé son cœur et jamais dans les courses les plus folles en traquant les bêtes sauvages dans la savane son coeur n'avait enduré un tel rythme. Il avait donné, vidé ses couilles, mais était toujours chevauché par une furie lubrique qui lui griffait en même temps son buste.
A chaque mouvement du bassin, il sentait ses ongles lui labourer le torse et le haut du ventre. Ce n'était plus du plaisir mais un vrai supplice charnel...Elle accentua son mouvement.. D'autres mains le palpèrent...Enfin dans un ultime spasme, il sentit la sève de vie qui s'épancha à nouveau dans ce fourreau mouvant et suintant. Quelques chuchotements, un relâchement de la pression et enfin son corps fut libre. Honteux il rabattit le drap et découvrit des formes s'enfuyant à travers la porte.
Pensif, il réfléchissait à sa situation. Crier, et attirer les terribles matrones qui gardaient le gynécée, s'était perdre ses attributs et au mieux servir d'esclave au pire être sacrifié aux Dieu pour concilier les faveurs divines de la cité. Il sombra alors dans un profond sommeil.
Avant l'aube, une forme se blottit sur sa couche..... Pétri de sommeil, il la repoussa. Elle lui prodigua une caresse sur son visage en se relevant lui dit : " Je suis une des épouse de l'oba, et nous t'avons enlevé pour que tu satisfasses tous nos désires, volontairement, ou contraint.
Personne ne sait que nous hébergeons un homme, sauf les concubines qui t'ont coursé et la matrone qui nous gouverne et qui t'a mis les chaînes. Elle connaît tous nos secrets et sait particulièrement profiter des hommes que nous capturons. Les distractions sont rares.. ; alors si tu te soumets, tu seras bien traité et peut-être nous t'autoriserons à rejoindre les tiens. Sinon nous t'obligerons jusqu'à satiété et tu pourras dire adieu à.... " Elle lui avait saisi brutalement ses couilles et les serrant dans un geste de défi " Tu vois alors sois gentil et tout ira bien "
Puis, s'agenouillant d'un doigt léger elle parcouru son torse puissant, s'attardant sur ses tétons qu'elle tritura un moment. Son pénis alors lentement se déploya, glissa le long de son ventre pour se redresser gland distendu et triomphant.
Dompté, comprenant que toute révolte ne pourrait que le desservir, il assistait impuissant à son asservissement sexuel. Contre sa volonté son sexe dont il tirait une certaine fierté était de nouveau prêt à servir, dur, légèrement recourbé et étiré sur plus de 22 cm .
-" Tu vois que tu me désires encore " diit elle en quittant de la main les petits tétons durs et hérissés pour lentement la diriger vers la verge turgescente.
La saisissant à pleine main elle porta le gland à ses lèvres, puis passant la langue elle enduit de salive tout le pourtour, léchant la peau fine légèrement rougeâtre et reniflant les sécrétions qui commençaient à sourdre. Sentir cette verge palpiter dans sa bouche lui procura une onde de plaisir puis s'agenouillant, lentement elle fit glisser cette chose qui la ravissait sur ses grandes lèvres sans toutefois entreprendre la pénétration, juste des frottements.
" Allons, remue ton cul , coopère ...oui comme ça.. plus vite.... " " Là je mouille, enfonce toi dans moi, montre ce que tu as " " Continue, ne t'arrête pas, tu es un vaillant guerrier....encore.... oui ah ! "
Mécaniquement, son corps avait retrouvé les gestes de la copulation tel un métronome, et il s'était enfoncé dans le vagin qu'il pilait comme ces femmes qui écrasaient le mil au moyen d'un mortier géant... Une onde de plaisir lui parcourut l'échine, et il sentit la jeune femme se pâmer dans un cri étouffé. Alors il se dégagea et se retourna sur sa couche.
" Tu as été fantastique, lui glissât-elle en partant, repose-toi bien car tu as encore de l'ouvrage à fournir... n'oublie pas que nous avons été 19 à t'attraper et que toutes nous rêvons de toi... Je vais te faire apporter un remontant et un repas où tu puiseras ton énergie.. ; et surtout réserve-toi pour la Mama qui nous gouverne. Elle connaît tous les vices et toutes les manières de se servir d'un homme tel que toi... Au revoir, mon gentil garde "
Epuisé, il s'endormit en rêvant à des démons féminins qui le tourmentaient par tout, allant même jusqu'à lui déchiqueter son sexe qui repoussait douloureusement... Que faisait son épouse qu'il devait retrouver son service fini....esclave sexuel aux plaisirs et à la discrétions des concubines.. Combien étaient- elles, on murmurait que l'Oba avait plusieurs centaines de femmes..., peut -être un millier... sans compter les princesses aux mœurs légères... Certes son épouse avait vanté ses performances conjugales, mais de là à servir d'étalon...
Il en était là de ses réflexions quand la matrone qui l'avait enchaîné arriva avec un gros plat de bananes cuites et un curieux bout de viande "Bonjour, C'est un pénis de léopard que j'ai commandé à un chasseur, je pense que tu en auras besoin. Il a été consacré par le sorcier, mâche le lentement, et comme boisson, je t'ai apporté une potion qui devrait te ragaillardir et donner du tonus, tu verras, tu te surpasseras dit elle en lorgnant son entrejambe A bientôt mon mignon ! "
Le repas absorbé, une esclave amena une calebasse d'eau et doucement entrepris de lui faire sa toilette. Il se laissa frotter le dos avec des plantes et à son grand étonnement son sexe se mit à se redresser... Non, il n'avait eu aucune pensée lubrique devant la jeune fille qui se mit à rire subjuguée par ce vit qui pointait vers le plafond. Timidement, elle se saisit du membre et délicatement appliqua la préparation herbeuse sur toute la surface ainsi que sur les bourses. Après un dernier rire, elle disparut emportant la calebasse et les restes du repas qui avait été déposé sur une feuille de bananier. Une chaleur irradiait tout son sexe, et jamais, il n'avait été pris d'une telle érection. Son cerveau était en ébullition.
Deux jeunes femmes entrèrent et mu par une puissance qu'il ne contrôlait plus, les yeux exorbités, il se précipita vers la plus jeune, tel un satyre. Celle-ci esquissa l'attaque en se mettant hors d'atteinte du forcené qui avait été retenu dans son élan par les limites autorisées par sa chaîne. Elles disparurent poussant des cris d'effroi et de surprise. Aussitôt Iweba se calma, s'assit, et la tête entre ses mains se mit à pleurer d'abord contre cet accès de folie où il n'était plus lui-même et puis contre son sort. Un mouvement de révolte et de dégoût l'envahis. Assis le talon meurtri par les fers, il resta quelques instants hébété se couvrant du drap qui traînait par terre
Quelques minutes plus tard la matrone apparut ; " Alors on se révolte, ici tu n'es rien, un mot et je te livre aux ukobas (corps au service de du roi dont les membres nommés après leur quarantième années, sont alors chargés des basses œuvres de l'Oba, jouant en quelque sorte fonction de police secrète et craint à juste titre de la population.)
Il se radoucit aussitôt.
" Viens, fais-moi l'amour, tu as effarouché la princesse Ibo, montre ta vaillance à Mama Toubo "
Se dirigeant vers Iweba, d'un mouvement rapide pour sa corpulence, elle arracha le linge qui recouvrait les jambes de l'homme, puis appuyant sur sa poitrine elle le renversa sur le dos et sans façon se mis a califourchon sur son ventre
- Oh mais il est tout ratatiné, c'est moou et dire que l'on m'avait venté tes exploits ! Chatouillant le haut de sa verge. Tu ne réagis pas vite serais- tu devenu femme, est-ce que je te dégoûte ? et se retournant elle approcha son sexe soigneusement épilé devant la bouche d'Iwéba " Tien, lèche ! "
Les seins tombants, de grosses lèvres lippues, un double menton, un ventre flasque et gélatineux et une forte odeur ajoutèrent encore le dégoût que lui inspirait cette négresse. Non jamais il ne pourrait baiser cette monstruosité de la nature. Il eut un haut le cœur et tourna la tête en signe de négation ;
La matrone se releva en disant : " Ah c'est comme cela, on ne veut que des jeunettes, attends mon gaillard, tu ne connais pas encore Mama Toubo, et aujourd'hui tu m'appartiens !" Elle sortit.
La journée était bien avancée quand la jeune esclave qui l'avait lavé se présenta avec des galettes de sorgho accompagnant de patates (douces) cuites et un quartier de buffle. Comme boisson, on lui servit un vin de palme.
La soif le tenaillant, il absorba la plus grande partie du bol. Une douce somnolence l'envahit. Dans la moiteur de l'après-midi, les bruits avaient cessés; le temps s'était comme arrêté.. Quand il s'éveilla, le soir était déjà tombé et des lampes à huile brûlaient déjà. On avait tapissé sans qu'il s'en aperçoive la pièce de coussins et déposé prés de sa couche un solide lit en bois, bas sur pattes. La pièce avait été soigneusement nettoyée et le récipient mis à sa disposition pour ses besoins enlevé. On avait changé à son insu le tissu qui le couvrait. Le quartier résonnait maintenant de mille bruits... Quand ce cauchemar allait-il cesser ?
Il se redressa, vérifia encore la solidité de sa chaîne essayant d'arracher le piton enfoncé dans le sol quand il s'aperçut de la présence de Mama Toubo accompagnée d'une autre forte femme encore plus disgracieuse qui venaient d'entrer silencieusement dans la pièce.
-" Elle est solidement arrimée, et des plus forts que toi n'y sont pas arrivés.. On veut se dérober à Mama Toubo " dit-elle en s'avançant -" Ne me touchez pas, sale garce " et ill réussit à soulever un bref instant le lourd lit dans l'espoir d'en faire une arme, mais déséquilibré il partit en arrière et les deux pieds retombèrent bruyamment sur le sol. " On se révolte, petit soldat "
L'autre femelle contournant le pilier centrale d'un mouvement puissant l'avait ceinturé l'obligeant à lui faire lâcher le lit. Mama Toubo lui saisit les jambes, et en un instant il se trouva soulevé, puis plaqué sur le treillage rigide formant l'ossature du lit. Maintenu par les 130 kg du popotin de son agresseur, Mama Toubo en quelques gestes immobilisa ses pieds en entortillant la chaîne atour de son 2 ème talon, puis ses poignées furent promptement liées a chacun des pieds lui interdisant tout mouvement.
Sa bouche fut ouverte et à l'aide d'une sorte d'entonnoir on l'obligea à boire ce qui lui sembla être le même liquide qui l'avait rendu fou. Enfin, on oint son corps d'une substance huileuse qui le détendit, tout en l'échauffant. De nouveau, sans aucune manipulation sa verge par petits soubresauts commença à durcir, puis se déploya lentement pour atteindre une parfaite érection.
Plusieurs épouses et princesses entrèrent dans la pièce et prirent alors place sur les coussins, gloussèrent et encouragèrent Mama Toubo quand elle commença à manipuler sa verge, la triturant, étirant le pénis, pressant ses bourses. Toutes furent autorisées à toucher le membre viril et à le manipuler. Alors les deux matrones à tour de rôle l'enfourchèrent jusqu'à l'épuisement..
Complètement vidé au troisième assaut, son sexe s'était recroquevillé, mais Mama Toubo n'en voulut pas moins continuer sa quête du plaisir et était revenu avec un godemiché en ivoire poli dont le manche finement travaillé était constitué du visage de la déesse de la fécondité. Ses jambes furent soulevées et sans ménagement on écarta ses fesses pour l'introduire dans son fondement. Sans préparation, il hurla de douleur; et pendant qu'on faisait glisser l'engin dans ses entrailles une bouche s'était posée sur son gland et une langue avide lui titilla son organe pendant qu'une poigne le branlait. Des frissons de plaisirs firent redresser fièrement l'organe défaillant et, aussitôt la chevauchée plus frénétique que jamais repris le laissant de cette soirée de débauche anéanti.
Tout le temps ses spectatrices firent des commentaires salaces avec des rires entendus quand un spasme le secouait. Plusieurs fois, elles vinrent taquiner son organe entre deux intermèdes de leurs gardiennes. En sueur, Iyobé lui passa à plusieurs reprises un linge humide et odorant sur le visage et le front. Enfin on le détacha et la société s'égailla. Il put alors rejoindre sa couche et sombra aussitôt dans un monde cauchemardesque..
Pendant toute la lunaison il servit d'exutoire aux comportements lubriques de princesses et d'épouses de l'Oba, passant de cons en cons, jouet de la lubricité du harem, soumis ou consentant. Il supplia Iyobé qui venant souvent lui rendre visite de lui rendre sa liberté pour aller retrouver son épouse et lui promit mille nuits d'amour. Sur le divan, il se fit si persuasif que contre la promesse de revenir, on lui enleva les fers.
De retour dans son unité, il prétendit avoir pourchassé un éléphant pendant des jours, s'être égaré et avoir marché durant tout le temps de la lunaison dans la savane pour regagner le palais. Sur qu'il avait été ensorcelé ...Plus jamais, il ne repassa devant la porte du harem....Sa femme mis sur sa fatigue son momentané inappétence sexuel....
Pour terminer sur quelques notes du Bénin, en 1896, le consul britannique J. Philipps veut pénétrer dans la capitale durant une période de fête religieuse. Le roi lui avait demandé de repousser son voyage mais passant outre, lui et son escorte furent impitoyablement massacrés. Le gouverneur de Lagos organisa alors une expédition punitive qui s'acheva par un massacre et la soumission du dernier Oba en janvier 1897.. Le royaume du Bénin aura vécu, et les plus belles pièces des richesses artistiques du Bénin furent expédiées à Londres au British Muséum.
Gimet
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